Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (50)
Alors que tout le groupe est sur la terrasse, les jumelles sont absentes.
Madeleine est avec Sindy.
Je monte vers leur chambre, elles sont là.
Elles me sautent au cou.
Anne sort dun petit sac sa liasse de billets et me les montres fièrement.
Tu sais Christine, Virginie, à garder la mallette où il y a vingt mille euros pour chacune.
Oui, petit bouchon, je sais tout, elle ma raconté vos exploits.
Pour la mallette, vous navez rien à craindre.
De retours ont Paris, nous vous ouvrirons un compte à chacune et largent comme par miracle venant dendroits différents du monde pour éviter les soupçons, vous les retrouverez.
Aline, tu as aimé ces soirées.
Oui bien sur, surtout que nous étions toutes les deux avec Anne.
Virginie ma dit que vous vous étiez fistées devant les clients, faites vous cela depuis longtemps.
Depuis notre jeunesse, nos parents pour éviter de nous séparer nous faisaient coucher dans le même lit.
À lâge des premières découvertes, nous étions en été et il faisait chaud, nous avions pris lhabitude de coucher nues.
Souvent nous dormions dans les bras de lautre.
Une nuit de pleine lune, la fenêtre était ouverte et nous cherchions désespérément le sommeil, la main dAline était placée sans le vouloir sur mon sexe.
Nous commencions à avoir des poils qui poussaient sur chacune dentre nous ainsi que nos petits seins qui se formaient.
Nous avions même inventé un jeu, nous comptions chaque jour combien chacune en avait de plus que la veille.
Ces premières caresses, lorsque nous comptions, nous ont fait prendre conscience des évolutions de cet endroit.
Cette nuit-là, Aline a avancé sa main sur ma chatte, elle ma caressé, jai senti une boule qui montait en moi.
Naturellement, jai ouvert mes cuisses. Elle a fait entrer un doigt dans ma minette.
La boule grossissait.
Lorsquelle en a introduit un deuxième, cette boule a explosé, jai crié tellement fort que jai eu peur davoir réveillé nos parents, qui heureusement couchaient à lopposé du garage.
Afin déviter de laisser Aline sur le bord du chemin, jai voulu lui faire de même. Elle ma pris par le cou et a guidé ma bouche sur ma petite chatte.
À la fin de la nuit, je connaissais tout de ma sur, du fond de sa bouche que je venais dexplorer à sa petite fente que ma langue avait perforée.
Plus je la léchais ou que je lui mettais ma langue, plus elle se tortillait et plus sa bouche émettait des râles jamais entendus depuis le début de notre courte vie.
Plus ses râles augmentaient, plus sa fente déversait sur ma langue des sucres odorants et délicieux à boire.
Aline mutine, comme elle la toujours, à commencer à pivoter pour être à la hauteur de sa convoitise.
Sa tête sest nichée sur mes parties intimes et m'a fait la même chose que je lui faisais subir.
Nos jouissances sont parties en même temps dans nos bouches qui ont atténué nos cris.
Aline, comment as-tu su quil était possible de sucer un ou une partenaire.
À oui, une copine qui est en fac, est venue se vanter quun garçon lavait emmenée aux toilettes et lui avait brouté la chatte.
Et comment êtes-vous devenu femme ?
Cela cest fait un jour après un pari au moment de nos dix-huit ans, jai annoncé à Anne que javais gagnée, je venais de me faire dépuceler dans la voiture par Bob, un voisin dont nous étions toutes les deux amoureuses.
Nous avions parié une bouteille de parfum pour celle qui arriverait à se faire prendre la première.
Jai gagné.
Javais beaucoup aimé la queue de ce garçon en moi et je lui avais donné rendez-vous le lendemain dans le parc à côté de chez nous.
Anne espiègle comme nous sommes ma demandé dy aller à ma place.
Toute la nuit, cette idée nous a émoustillés.
Le lendemain, cest dans le même chemin, dans la même voiture avec le même garçon quAnne a été dépucelée.
Cest plusieurs semaines après quAnne a su quelle était enceinte. Ce fumier lorsquil la su, cest barré.
Pendant des mois jai rencontré un garçon chez qui je suis allée habiter, il baisait bien mais était con.
Il sortait tous les soirs et rentrait bourrer.
Jai fini par revenir chez mon cur de toujours et pour toujours ma sur Anne.
Une nuit, jai été réveillée par des râles près de moi. Jai eu peur quAnne ne soit malade. Jai ouvert ma lumière.
Anne avait la main au fond de son vagin. Elle était ennuyée que je laie démasquée.
Elle a sorti sa main couverte de sécrétions. Espiègle, jai voulu découvrir ce que ma sur ressentait à se fister terme que nous avons appris plus tard.
Jai pris sa main après avoir écarté mes cuisses et ai présenté ses doigts à ma grotte.
Est-ce lenvie où ses sécrétions qui ont fait glisser sa main au fond de moi, mais le résultat, ont été formidables, jai appris que lon pouvait jouir plus fort quavec une bite.
Depuis nous partageons nos envies sexuelles souvent ensemble en bonne jumelle que nous sommes.
Je les embrasse.
Anne va retrouver ta fille et demande à Madeleine de venir me voir.
Jattends cinq minutes, elle arrive toute guillerette.
Les jumelles mont dit que tu veux me voir.
Oui, jai une réponse à ta question concernant la possibilité de te faire de largent pour acheter ta librairie.
Chouette !
Vous irez, avec Virginie, dans un hôtel de Royan à votre premier rendez-vous mercredi à vingt et une heures ou vous rencontrerez un homme qui se prénomme Bernard.
Tu recevras deux mille euros pour la nuit.
Chouette, je suis daccord.
Je constate que pour Madeleine, la vie se résume à être chouette.
Comme réponse, elle me saute au cou et me prend la bouche goulûment.
Vers treize heures, nous prenons le chemin du restaurant.
Michelle est là, elle nous attend.
Nous-nous installons, je marrange pour me trouver à côté de Fabienne pimpante dans ces nouveaux atours.
Le repas se déroule dans une très bonne ambiance.
Jai loccasion de mettre Fabienne au courant de leur premier contrat signé pour mardi vingt heures à lhôtel, Le Cordouan, chambre vingt-six.
Nous rencontrerons un couple Frédéric et Frédérique que je connais les ayant déjà rencontrés par deux fois avec Virginie et Véronique, ce sont des bons clients.
Elle est très contente même si au pied du mur elle se pose quelques questions.
Lors du repas, jai le malheur de faire un pari avec Alain que je perds.
Un gage pour la perdante par le vainqueur lui sera infligé.
Alors que la plage est remplie de très nombreuses familles, il me met au défi dallée me mettre nue pendant au moins une demi-heure.
Je pourrais hésiter, mais je décide de le relever.
Je me lève et je longe la promenade jusquà la descente où mes amis peuvent me voir.
Je choisis un emplacement le long du mur.
Jai emporté avec moi mon sac de plage.
Je sors ma serviette de bain et létale ainsi quun oreiller que je gonfle.
Jaurais pu masseoir pour enlever ma robe sous laquelle comme à laccoutumée, je suis nue.
Dun seul geste, jenlève le bout de tissu qui me recouvre et naturellement je massieds.
Je prends mon sac que je pose au bout de mes pieds, cachant ainsi la perspective de mon intimité trichant un peu je lavoue.
Je mallonge et regarde lheure. Top sest parti pour trente minutes.
Jai placé mon oreiller sous ma tête, ce qui me permet de voir les mouvements sur la plage et surtout si la surveillance reste passive, ici ce sont des CRS qui assument la fonction.
Non loin de moi, des personnes jouent avec des boules en plastique.
Je remarque bien qu'il parle de moi.
La question doit être, est-elle ou pas nue.
Lun des joueurs, vingt-cinq ans environ, leur parle. Je ne peux les entendre.
Il remonte vers les escaliers. Il est à peine parti, que ses deux petits-s lappellent.
Papa où tu vas, Papa où tu vas.
Il devient le point de mire dune grande partie des personnes sur la plage autour de nous.
Quand on est parti, on est parti, il prend les petits par la main et approche de moi et monte lescalier à mes côtés. Il regarde en coin sils ont bien vu. Je le vois quelques minutes après, redescendre les marches de lescalier suivant.
Il remonte la plage côté sable et comme la vedette devenue à chaque deux mètres, quelquun linterpelle. Je peux facilement comprendre la question posée.
Est-elle nue ?
La réponse oui au mouvement de tête quil fait.
Lorsquil passe devant moi, il me regarde et un sourire est sur nos lèvres.
Cet intermède a permis au temps de passer, la demi-heure arrive à son terme.
Je me relève lentement, replis ma serviette en la secouant pour enlever le sable, tourne sur moi-même comme si je cherchais quelque chose.
Je remets ma robe, prends mon sac et je rejoins mes amis.
Lorsque jarrive à leur hauteur, une salve dapplaudissements maccueille.
Fabienne est la plus enthousiaste. Elle doit ce souvenir de son passage sur cette promenade nue sous son imperméable.
Nous retournons à la villa et comme nous sommes à marée basse, nous descendons nous baigner par notre escalier.
Dans leau, je reconnais le jeune homme aux s.
Il me reconnaît.
Vous navez pas froid aux yeux, je vois, beaucoup de femmes avec les seins nus sur cette plage familiale, mais une femme entièrement dévêtue, je nen ai jamais-vu.
Vous saviez, mais un pari est un pari surtout lorsque lon perd alors jai assumé.
Lautre matin, quand vous avez raccompagné un monsieur à sa Porche, vous aviez aussi perdu un pari ?
Vous mavez vue.
Jhabite en face de votre villa et jouvrais les volets de ma chambre et jai eu une vision magnifique.
Votre femme était réveillée à cette heure.
Je suis sans femme à la villa. Je suis divorcé et mon ex vient de venir récupérer les s.
On se reverra donc !
Et je pars nager
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!